Chères lectrices, chers lecteurs,
« Un siècle d’histoire du cinéma est retracé à travers la vie intime de personnages particulièrement humbles et humains. Beaucoup de simplicité et d’élégance dans ce récit où les mots sont précis et le ton juste. Un roman brillant ! »
« Un style direct, précis et un ton très humain nous permettent d’appréhender au plus près ce drame familial, au regard de faits historiques particulièrement difficiles. »
« Un personnage extrêmement attachant, à la fois intransigeant et très attentionné. Toujours remis en question par les événements de la vie, il navigue dans une nature merveilleuse, avec laquelle son personnage ne fait qu’un. L’écriture sensible, délicate, bien rythmée nous accompagne comme dans un conte jusqu’à la fin du roman, vers une envolée merveilleusement poétique ! »
« Une écriture éblouissante, d’une extrême finesse et d’une grande maturité, pour décrire les sentiments, les questionnements des consciences entre la vie et la mort. Ce face à face spectaculaire, d’une force poignante, s’impose à chacun. Un grand voyage au plus profond de l’âme humaine.»
« Une lecture très agréable, simple, authentique qui nous transporte dans une très belle histoire d’enfance. »
Un premier aperçu des nouveautés consacrées à la rentrée littéraire, francophone et étrangère ! La suite viendra dans la lettre de septembre.
Notre sélection du moment, hors littératures. Cliquez sur l’image pour en savoir plus.
Essais – Documents de société
Nature – Voyages
Le monde des enfants / Livres & Jeux
5 questions à Olivier Cojan
1/ Pouvez-vous vous présenter rapidement à nos lecteurs ?
Je suis né à Châteauneuf-en-Thymerais en 1951 mais j’ai passé une partie de mon enfance en Algérie : mon breton de père était dans la marine nationale, il commandait un bateau basé à Alger. Nous passions une grande partie des vacances d’été à Saulnières chez les parents de ma mère. Ce petit village du pays drouais a inspiré les six volumes de ma saga Le Pays où vont mourir les rêves.
2/ Quel est votre relation avec la Beauce ?
La Beauce est souvent moquée, sa platitude et la monotonie du paysage rebutent ceux qui se contentent de la traverser à 130 km/h sur l’autoroute. Il faut prendre le temps d’y musarder pour en percevoir le charme. J’ai passé la plus grande partie de ma vie à Chartres, je me sens pleinement d’ici, je n’envisage pas d’aller vivre ailleurs. Ce qui importe dans le cours d’une aventure humaine c’est ce qu’on fait, ce qu’on vit et surtout la richesse et la densité des amitiés qu’on peut nouer. De ce point de vue la Beauce ne m’a jamais été ingrate.
3/ Pouvez-vous nous présenter votre dernier ouvrage ?
Je vais plutôt vous dire quelques mots sur Le Pays où vont mourir les rêves dont La fin d’un monde. 1967 1989 est le dernier des six volumes. J’ai entrepris, il y a une dizaine d’années, de raconter de façon romanesque l’histoire du XXe siècle depuis Saulnières, le petit village où j’ai passé mes vacances d’enfant. Les deux familles qui structurent cette saga sont confrontées, pour le meilleur comme pour le pire à toutes les tragédies et aux progrès qui ont marqué le XXe siècle. Le premier volume racontait le monde tel que mes grands-parents pouvaient le vivre et ce dernier tome nous fait voyager dans ce temps qui me parait encore très proche, de ma jeunesse.
4/ Quel est le dernier ouvrage que vous avez lu ?
Je travaille sur un prochain roman qui aura pour cadre la ville d’Alger entre 1956 et 1962. Je viens de lire le très beau livre de mémoires de Béatrice Commengé : Alger, rue des Bananiers.
5/ Quels sont les trois ouvrages que vous aimeriez conseiller, en ce moment, à nos lecteurs ?
– Jean-Michel Guenassia, Les terres promises, un roman, qui à sa façon, raconte les tourments du monde depuis les années soixante jusqu’à aujourd’hui. Passionnant, drôle parfois… sans illusions sur les promesses d’un monde à venir.
– Olivia El Kaïm, Le tailleur de Relizane pour tenter de comprendre son présent, l’écrivaine revient sur le passé de ses grands-parents pieds noirs. Bouleversant.
– Ludivine Bantigny, La Commune au présent. Une façon originale de rendre compte d’un mouvement social majeur. L’historienne envoie des lettres à des communards morts depuis longtemps. Magistral.
Résumé éditeur :
Avec cette sixième époque de la saga « Le Pays où vont mourir les rêves », Olivier Cojan achève son récit de l’histoire du XXème siècle à travers la vie de ses héros, Joseph Callac et Hubert Franquin. Les premiers volumes ont été publiés par Pocket sous les titres « Le pays où vont mourir les rêves. 1898-1919. Une amitié des bancs de l’école communale à l’horreur des tranchées » puis « Le pays où les rêves prennent vie. 1935-1945. Une amitié d’une après-guerre à l’autre. »
« Ce roman est une perle qui joint à l’érudition la qualité de l’écriture » Alain Denizet
Paru aux éditions Ella • Avril 2021 • 550 pages • 20 €
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