Anne Robillard, La Malédiction des Dragensblöt, Tome I (Michel Lafon, 2020)

Samuel Andersen a raté sa vie. Prêt à en finir, il se dirige vers la Tamise, mais s’égare dans le brouillard londonien et échoue devant les grilles d’un mystérieux manoir. Très vite, il comprend que ce n’est pas un lieu ordinaire : le feu de cheminée ne s’éteint jamais, le portail s’éloigne dès que l’on tente de s’en approcher… et dans un immense couloir sont alignées 46 étranges portes, toutes fermées à clef.

Plus bizarre encore, le manoir est occupé par les ancêtres de Samuel. Pire, ces spectres sont privés de repos à cause d’une malédiction jetée sur leur famille, les Dragensblöt. Une seule manière de les libérer : trouver la porte qui correspond au premier ancêtre, plonger dans son passé et vaincre la sorcière qui a maudit sa descendance. Mais combien de portes Samuel devra-t-il explorer avant de trouver la bonne ? Et surtout, survivra-t-il aux dangers oubliés que recèlent ces lieux ?

C’est avec grand plaisir et plein de curiosité que nous entrons dans le premier tome de cette série pour suivre les aventures de Samuel. Avec lui, j’ai adoré découvrir un manoir hanté de fantômes, et faire des haltes fantastiques au cours des âges. Heureusement que le tome 2 vient de sortir…